Les pratiques de prêt abusif portent préjudice à l’emprunteur. Elles peuvent souvent entraîner la perte de biens, de dettes et des dommages corporels pour la succession de la victime. Cette personne doit comprendre ce qu’est le prêt abusif, comment et quand il est possible de poursuivre la banque.
Le prêt, est-il abusif ?
Les agents prêteurs peuvent agir de manière à rassurer l’emprunteur avec des promesses pouvant sembler trop belles pour être vraies. Ces promesses peuvent impliquer des taux d’intérêt bas, une diminution des frais, des conditions de prêt faibles pour être vraies. D’autres promesses ne sont qu’une escroquerie pour que la personne commence à emprunter. Souvent, la banque augmentera les taux d’intérêt, les intérêts. Elle enfermera l’emprunteur dans des prêts à long terme qui peuvent faire sauter la banque. L’emprunteur ne peut finalement pas payer le montant. Il peut se retrouver endetté avec des frais astronomiques et des dettes dues à l’institution pendant des décennies.
Les escroqueries financières légales
Certains prêteurs abusifs se livrent à des escroqueries financières légales. Elles peuvent concerner des hypothèques, des agents immobiliers, des biens commerciaux et des problèmes de paperasserie. La personne impliquée dans l’escroquerie peut faire signer quelque chose sans l’expliquer ni fournir de détails supplémentaires sur la situation. Certains prêteurs promettent une chose. Ils écrivent les informations dans les documents relatifs à l’opération. Ils ne donnent pas d’autres détails ou d’explication sur les petits caractères. Dans ces situations, le prêteur peut augmenter le taux d’intérêt, le taux de paiement ou le montant dû pour chaque paiement. Mais il n’en informe pas la personne.
La forclusion et le prêteur abusif
Lorsque la banque qui émet l’hypothèque ou le prêt agit de mauvaise foi, la victime subira divers problèmes. Ils peuvent finir par inclure une saisie de la propriété immobilière. L’hypothèque, dont les intérêts sont plus élevés ou les paiements astronomiques, conduit souvent à cette conclusion. C’est parce que l’emprunteur n’est pas en mesure d’effectuer les paiements. Il sera possible d’engager une action en justice si la victime peut prouver que :
- Elle n’a pas conclu d’accord avec les dispositions actuelles
- Les détails figurant dans les documents ne sont pas ceux qui ont été donnés à la banque
Les problèmes juridiques et financiers
Lorsqu’un emprunteur subit un préjudice juridique ou financier, il aura le droit de poursuivre la banque. Le préjudice peut être économique ou de souffrance en raison de la perte d’un bien immobilier pour cause de saisie. La banque pourra être alors confrontée à un procès lorsque l’emprunteur a la preuve de pratiques abusives.
Des preuves, avec un soutien juridique, sont la clé de tout procès. L’emprunteur a également droit à la résiliation, même après avoir signé les documents. Mais le délai n’est que de trois jours. Le prêteur peut ne pas l’expliquer ou ne pas respecter l’obligation de divulguer les informations.